Petit Surprise (suite et fin) Bonjour chers lecteurs, je vais à présent vous racontez la suite de ma précédente histoire, je rappelle que moi c’est Philippe, moi et ma petite amie, Amélie, avons éxpérimenté ce soir-là un fantasme de dominant et dominé, dans la première partie j’étais le dominé et me laissé faire par ma petite amie, après on a inversé les rôles et voilà ce qu’il s’est passé… Je m’étais donc jeté sur elle pour l’embrasser après qu’elle m’ait libéré de mes liens, Amélie me regarda avvec un sourir malicieux en me confiant les cordes, collier et menottes qu’elle avait utilisé précédemment et me laissa les commandes de la suite de la soirée. Je la pose alors sur le lit alors qu’elle me fait partager sa surprise, depuis le début de nos ébats je n’avais pas débandé, la vue de ma queue toujours en éréction l’éxita encore plus. Je lui demande d’écarté les jambes et les bras puis j’attache ses poignés et ses chevilles aux quatre coins du lit, j’ai suffisemment bien sérré pour qu’elle n’ai quasiment pas de libérté de mouvement, je lui mets aussi un baillon sur la bouche puis je lui donne une féssée sur la cuisse, je l’entends gémir sous son baillon, ça n’a pas vraiment l’air de la déranger. Je pose mes lévres sur son tibiat puis parcours de bas en haut tout sa jambe droite, arrivé prêt de son nid d’amour je l’embrasse entre son nombrile et sa toison clairsemée, je redescends ensuite le long de sa jmabe gauche toujours avec lenteur. Je recommenc mon manège mais cette fois ci sur son ventre en remontant vers les seins que j’évite, elle essaye d’avoir mes lèvres sur ses seins en relevant le bassin, mais lorsqu’elle le fait je lui mets une grosse fessée comme punition, elle n’essaye donc plus, je passe mes lèvres au dessus de ses seins en n’ayant que mon souffle qui les parcours, elle gemis de plaisir encore une fois et mouille abondemment. Mes lèvres passent dans son cou sur ses bras et sur son visage. Je sors de la pièce quelques minutes, et je reviens avec une grande plûme d’oie, je la vois toujours allongée et completement écartelée sur le lit. Je commence à parcourir son corps doucement avec la plûme, toujours le long de ses jambes et sur son ventre en évitant les zones sensibles, elle devient comme folle et se débat le plus possible pour obtenir des carresses plus précises, mais je lui donne des fessées à chaque tantative. Elle a très chaud, elle transpire, elle gémis, et je continue les carresses avec la plûme en évitant les zones charnelles, elle arrête enfin de se débattre, elle en a assez de sentir mes mains claqués sur ses cuisses et la plûme ne jamais allait au bonne endroit. Alors je lui dépose en bisous sur la joue en lui disant à l’oreille “Tu as enfin compris que se débattre ne fera que ralentir les choses”, puis la plûme arrive enfin entre ses cuisses et remonte d’une lenteur sadique le long de ses petites lèvres roses dégoulinantes, je vais quelques allez-retours très lent pendant quelques minutes, puis c’est au tour de ses seins, je fais tournoyer la plûme autour de sa petite tétine en faisant des cercles de plus en plus sérrés avant de change de seins. Elle hâlète toujours plus, elle gémis toujours plus fort, elle est parcourue de nombreux spasmes de plaisirs intenses, à ce moment je daigne enfin à poser mes lèvres sur sa poitrine, je la parcours de petits bisous furtifs de plus en plus insistants, puis je prends son téton dans la bouche et le suce avec lenteur, je lèche sa petite auréole, puis je change de seins, lui infligeant le même traitement sadique. Je me place entre ses jambes et, tout en parcourant sses seins avec la plûmes, lui lèche délicatement le minou, elle dégouline abondemment, je récupère ce que je peux et l’avale, ma langue se fait plus insistante et plus vigoureuse, le plât de ma langue lèche la totalité de son antre, je prends son clitoris entre les lèvres et le tie en arrière, je le suce le lèche puis m’occupe à nouveau du reste de son sexe. Maintenant je lui détâche les jambes, seulement, et les mais au-dessus mes épaules pour faciliter la pénétration, je pose mon gland sur l’entrée de son nid et je lui carresse la fente, elle lève encore son bassin pour que je la penètre mais elle se prends encore une fois une grosse fessée. Après qu’elle se soit calmer, je m’enfile enfin en elle pour son plus grand plaisir, j’y vais toujours doucement au début, puis mes coups de butoires sont plus fort, elle gémis toujours sous son baillon, je sens que je vais éjaculer alors je lui retire le baillon et place ma bite dans sa bouche, elle commence à sucer mais je ne mets pas beaucoup de temps à me décharger, elle avale tout comme une bonne soumise qu’elle est. Je lui détâche les bras et la retourne, elle se met à quatre pâtes puis je lui attache les mains dans le dos, elle cambre son dos pour bien me laisser voir son petit cul bien ferme. Je lèche son anus pour le préparer puis le carresse avec la plûmes d’oie, elle me supplie de ne pas la sodomiser mais je la fesse de plus belle, je pose mon gland sur son anus et commence doucement à la pénetrer, elle à l’air d’avoir mal alors j’essaye de faire attention, puis je m’enfonce complètement et reste quelques minutes au fond avant d’entamer un lent va-et-viens, elle a encore un peu mal mais ses cris de douleur sont progréssivement remplacés par des cris de plaisir, elle en ddemande toujours plus et jouie une nouvelle fois, je ne tarde pas à me décharger dans son cul, puis je me sors rassasier. Je finis par la détâcher elle me plaque alors sur le lit et m’embrasse amoureusement, on a tous les deux adoré cette soirée et nous avons recommencé plusieurs fois après ça, mais là c’est une autre histoire ;-).