Il était une fois dans un lycée dans un quartier résidentiel aisé, un jeune homme de trois demi-douzaine d’année (18ans en clair), qui allait en cours tranquillement. Aujourd’hui il n’en a qu’un seul, c’était le cours de français, et sa prof était le point central des fantasmes de tous les mecs de la classe, mais aussi des quelques lesbiennes qu’elle contenait. C’était une très belle jeune femme de 25ans environ, avec un cul ferme et bien arrondi recouvert d’une jupette qui laissait voir son string, on pouvait aussi trouvé sur ce corps de déesse de seins magnifique, pas trop gros ni trop petit qui avait l’air d’étoufer dans leur sontient gorge sous son petit débardeur laissant parraître son nombril percé. Cette femme avait tout pour faire bander n’importe quel mec, il est donc normal ue le taux d’absentéisme à son cours eut été très réduit. Donc, disais-je, ce jour là, Benoît se rendait à son cours de français comme d’habitude, et comme d’habitude il était au premier rang en train de baver en regardant la prof. Mais, à la fin du cours, Mlle Stéphanie, c’était comme ça qu’on l’appelait, les élèves s’autorisaient même de l’appeler “stef”, donc Stéphanie demande à Benoît de rester à la fin du cours, tous ses copains en passant à côté de lui, lui donné une tape sur le dos suivit d’un petit clin d’œil complice. Il s’approcha alors du bureau de la prof de français, et elle lui présenta le devoir du dernier cours en ne manquant pas de le féliciter pour son excellente note : • Tu as fait un excellent devoir Benoît, dit-elle, je suis fière de toi • Merci, répondit-il timidment. • Non vraiment, c’est sincère, tu as des capacités, il faut que tu les exploites plus. Pendant qu’elle le complimentait, Benoît ne cessait de plonger son regarde dans le magnifique décolté de Stéphanie, il était fasciné par la beautée de ses rondeurs charnelles. • Dis-donc petit vicieux, dit-elle lorsqu’elle le remarqua, ne me reluquerais-tu pas un peu par hazard ? • Bah, vous savez, tout le monde le fais sans arrêt pendant vos cours, hosa-t-il clamer en essayant de cacher la bosse qui se formait sur son pentalon. • Je vous fais à tous un tel effet ? • Bah oui ! Vous êtes très sexy • Tutoie-moi s’il-te-plaît… Et qu’essaye-tu de cacher là, dit-elle d’un air coquin. Benoît cessa de cacher son entre-jambe largement gonflé. • Oh ! Mais tu bande comme un taureaux petit coquin, tu as besoin de te détendre un peu je suppose, laisse-toi faire. Les quelques paroles du jeune homme, et la vue de sa bosse avait échauffé Stephanie. Elle commence alors à carresser ce phallus cloîtré dans son jean, Benoît pensait être en train de rêver et il se laissa faire. Stéphanie dégraffe en suite le pentalon de son élève pour extraire de son boxer le membre en éréction. • T’es bien éuipé dis-moi, s’exclama-t-elle en voyant le penis bandé, huuummmm il a l’air appétissant en plus ! • Il est à toi si tu veux, dit-il en carressant le corps de la jeune femme • Un peu que je veux, mais je vais d’abord fermer la salle, on sera plus tranquilles. Aussi-tôt dis, aussi-tôot fait, voilà les 2 amants enfermés dans la salle de classe livré à eux mêmes. Puis Stéphanie se mit en sous-vêtement accompagnée de Benoît, pour ensuite se jeter sur son membre, elle le prit à pleine main et le masturba un peu, elle dépose en suite des baisé sur le gland décalloté et puis sur toute la longueur de la hampe, sa bouche remontant le long du mat avec la langue puis elle emboucha la totalité, malgrés la taille du membre, elle a réussi à l’avaler en entier. Elle entama un va-et-vient d’enfer tellement l’envie était forte, ses doigts rentraient dans son string et commencèrent à masturber son minou ronronnant. Benoît carresse les cheveux de stéphanie en accoupagnant sa sucion infernale. Elle stoppe alors la felation et s’assoit sur son bureau en retirant le peu de vêtements qui lui restaient, Benoît enlève complètement son boxer et son t-shirt et s’assoit en face de la prof. Sa tête fonce entre les jambes de Stéphanie, et la langue de Benoît commence à lécher le nid d’amour détrempée, la point passe entre les lèvre de bas en haut, appuie sur le clitoris, puis il le coince entre ses lèvre le tire en arrière et le relâche. L’élève mange à présent litérralement l’entre-jambe de son professeur gémissant son plaisir. • Je n’en peux plus Benoît, s’écria-t-elle dans un râle, prends-moi maintenant ! Il s’éxécute sans se faire prier, sa queue se retrouve rapidement dans la chatte affamé, il la prend par les hanches pour posé ses fesses sur le bord de la table, et met les jambes de stéf entre ses bras pour mieux la besogner. Il va et vient à l’interieur de cette grotte humide comme un dératé, il donne des coups rapide et fort, la jeune femme gémit en l’incitant à aller toujours plus vite et plus fort. Elle jouit dans un cri assourdissant tandis que Benoît continue de plus en plus vite, voyant qu’il n’y a plus de résistance il change alors d’orifice alors la prof dit: “oui vas-y, prends-moi par le cul, j’adore”, il pose son gland sur son petit trou et force le passage, c’est assez difficile mais il y arrive, lentement mais sûrement, son membre est à moitié renré alors il recule et reprend de plus belle. Ça y est, il est au fond, il reste complètement enfoncé quelques instants pour profiter, il embrasse Stéphanie transpirant de plaisirs, sur la bouche, leur langue se mèle, leur salive se mélange, puis il commence un va et vient lent, ils gémissent tous les deux à chaque rentrée, puis Benoît se fait plus rapide, plus fort, il devient acharné, ils crient tous les deux sans retenu tellement le plaisir est intence, Benoît lèche la poitrine de Stéphanie pendant qu’il l’encule avec force, ils finissent finalement par jouïr tous les 2 en même temps, Benoît se déversant dans les entrailles de Stéphanie éxténuée, elle s’allonge de tout son long sur son bureau pour reprendre ses ésprits, puis ils se rhabillent. En sortant, Stéphanie embrasse une nouvelle fois Benoît en le remerciant de se petit entretient. Ils se sont faits d’autres entretiens après celui-ci, et même des rendez-vous chez Stéphanie… Mais c’est une autre histoire.