J’étais installée devant la télévision à regarder mes bonnes vieilles séries pathétique, lorsque j’entendis sonner, j’accouru à l’interphone et repondis, une voix qui m’était très douce à l’oreille me dit “Amélie, ma chérie c’est moi” et moi de repondre “j’arrive tout de suite”. Je me refis une petite beautée, me passe un rouge a lèvre rouge pâle, enfilé un tee-shirt moulant mon 90 C, enfila une petite jupe blanche un peu transparante sous laquelle on pouvait voir ma petite culotte en dentelle qui me faisait comme un string entre mes deux fesses arogante. Je descendis en suite rejoindre mon Stephane. C’était un bel homme aux cheveux bruns très foncé, les yeux bleux, très grand et musclé, mais aussi assez bien équipé je dois dire, il était habillé d’une chemise noir sur tee-shirt blanc et il avait un pentalon noir. Je me présentais là devant lui fraîche comme la rosée du matin m’a-t-il dit doucement à l’oreille, je voyais son regard me détailler de la tête aux pieds, il était comme aveuglé par moi. Finalement je me decidais à l’approcher et il me pris dans ses bras pour me donner un baiser langoureux, je sentais par moment ses mains passées furtivement sur mes fesses rebondies, ses levres m’embrassère dans le cou avant qu’il ne me fasse monter dans sa voiture pour aller au réstaurant en amoureux. À notre arrivée au restaurant, le serveur nous fit assoir à notre table située sur la terrasse du restaurant donnant sur l’océan, le soleil avait déjà disparut derriere l’horizon et laissa place à une ambiance nocturne plus romantique. On se regardait dans les yeux en commandant notre menu, on discutait tranquilement la soirée se passée tellement bien. La soirée se continua au cinéma, nous ne regardions pas beaucoup le film, en fait nous nous occupions plutôt de nous deux, moi j’étais collé à lui mes mains passées sur ses jambbes remontère un peu plus vers sa bragutte d’où je pouvais sentir qu’il avait envie de moi je remontait sur son torse pendant que sa main qui était passée derrière mon cou me carresser la cuisse puis le ventre et ensuite mes seins durcis de plaisir, puis ses lèvres vinrent se coller aux miennes, nos langues commençaient à se chercher, à se tourner autour, à faire le tour d’une bouche puis de l’autre, nous avons passé presque tout le film à se carresser a s’embrasser et nous ne regardions presque plus ce qui se passait sur l’écran. Nous sommes sortis bien avant la fin de la séance tellement notre exitation était à son comble, j’embarquait rapidement dans la voiture et mon chéri se mit rapidement en route pour chez lui. Pendant le trajet je sentais déjà un peu d’humiditée dans ma petite culotte, j’avais beaucoup de mal à tenir en place ma main carressait doucement la jambe de mon conducteur, qui avait deplus en plus de mal à se concentrer sur la route, je devinais que son éréction commencait à être douleureuse vu q’il accélerrait un peu plus. Nous sommes enfin arrivé chez lui, il se gare assez vite et m’emmene à l’interieur rapidement dès que la porte est refermée je le plaque dessus et l’embrasse amoureusement, ses mains se font plus insistantes sur mes fesses et font remonter ma jupe jusqu’à ce que l’on puisse voir le galbe de mon postérieur, mes mains flâtèrent elles aussi les atouts de mon partenaire. Ses lèvres se decollèrent des miennes à mon grand regrets mais heureusement commençaient à m’embrasserr dans le cou très furtivement, je sentais son soufle chaud sur ma peau, chaque fois que ses muqueuses rencontraient ma peau, j’étais parcourue de frissons qui me donnait la chaire de poule. Je commençais à ne plus contrôler mes gestes, mes mains se frayent un chemin sous son tee-shirt et lui carressent le torse, sa peau est si douce, je lui enleve finalement les vetements qui lui couvrent son poitraille et le lui couvre de bisous, ses doigts se sont insinués entre ma petite culotte et la peau de mes fesses, nous décidons finalement d’aller dans le lit, je saute dans ses bras et l’entoure de mes jambes pour qu’il me transporte de cette façon pour notre destination finale. Il m’allonge sur le lit et je me laisse faire tranquillement en prenant mon pied, il me donne un baiser avant de remonter doucement mon tee-shirt qui met en valeur les formes dont je sais qu’il apprecie les contours, il embrasse les parties de la peau qu’il me decouvre progressivement avec une lenteur sadique, mais j’essaye de supporter son insolence du mieux que je peux, j’ai des spasmes de plaisirs qui me parcours tout le corps, je lui carresse son dos pendant que mon tee-shirt a presque decouvert ma poitrine fierement dréssée, il m’enlève completement mon tee-shirt et arrache mon sous-tif sans aucune autre forme de procés, il m’enleve par la même occasion ma jupette restée sur mes jambes depuis le début, laissant voir ainsi une tache un peu plus foncée sur ma petite culotte qui montre à quel point je le desire. Mais il ne s’attarde pas beaucoup sur cette partie du corps qu’il garde pour la fin, il remonte finalement dans mon cou, mais comme il s’en ait déjà pas mal occupé, il l’abandonne pour se concentrer sur mes seins, il les carressedu bout des doigts, à nouveau je sens sa respiration qui me fait frissonner, il se decide enfin à être plus insistant sur ma peau sensible, et ses carresses sont très agréable, ses levres se depose ensuite sur mes mamelons tour-à-tour, je sens le bout de sa langue glisser doucement autour d’eux puis les heurter avec resistance, mon homme alterne entre les tétons pendant quelques minutes il m’inflige cette douce torture. Sentant mes spasmes plus violent et ma respiration beaucoup plus forte et saccadée, il élargie la zone de sa langue qui me carresse avec une infinie tendresse mes parties sensibles, ses levres pincent mes tetons et les tirent un peu pour ensuite les relacher, pendant qu’il est occupé avec l’un d’eux, l’autre sein subis sa main agile, soit il me pince le teton entre son pouce et son index, soit il me carresse la totalitée du sein. J’aime ce traitement mais cela fait déjà une bonne demi-heure qu’il me donne de telles sensations, j’essaie alors de prendre le contrôle en le repoussant en arrière mais il m’attrappe les mains et les plaques sur le lit, sa bouche me lache les seins et remonte vers la mienne, nous échangeons un doux baiser puis le bout de sa langue redescend le long de mon corps pour arriver vers mon petit nid d’amour. Là, ses mains m’ayant lacher les poignés commence à carresser mes fesses et mon dos, il prend ma petite culotte entre ses dents et la fait descendre doucement jusqu'à mes pieds en me regardant dans les yeux, il l’enleve completement quand elle est à hauteur des genoux. Me voilà complètement nue, il est encore en pentalon et calçon, je me déhanche sur le lit tellement le plaisir est intense, je suis à sa mercie et je ne m’en plains pas, j’attends son supplice suivant avec impatience, il me regarde d’un air malicieux tandis que ses levres s’approche de mon mont de venus où on ne voit qu’une fine toison en triangle juste au-dessus des lèvres, comme il ne peut pas s’empecher de me rendre folle avant de passer à l’acte, il me torture la moule de sa respiration, je sens l’air chaud parcourir de bas en haut ma petite chate qui ronronne de plaisir et degouline énormement. Enfin ! Je sens sa langue sur la surface de mes lèvres, le bout dur de sa langue passe dans ma fente et remonte tout le long, il passe par mon clitoris émergé et s’atarde un peu dessus, il le coince entre ses lèvres et le tire en arrière puis le relâche, c’est bon et j’en redemmande, ce qu’il s’empresse de faire. Sa langue force l’entrée de mon vagin, elle écarte l’ouverture et rentre le plus profondément possible, il accélère le mouvement, et prend toute ma chate dans sa bouche, il en suce le moindre centimètre carré, je sens son index s’introduire à l’interieur et commence à me masturber doucement, je sens sa langue et son doigt me triturer la moule, je suis aux anges, je coule de plus en plus et mon homme avale ma liqueur en se délectant du moindre millilitre, son index descend vers ma rosette qu’il carresse en surface avant d’essayer d’y rentrer, sentir cette intrusion dans un trou encore inviolé me faiit sursauter de plaisir, je gemis pour lui dire de continuer ce traitement. Il enfonce son doigt dans mon anus un peu plus profondemen, puis il insere un deuxieme doigts puis un troisieme et il commence un va-et-viens frénétique, je sens 3 doigts de son autre main me masturber la chate qui doit resister aux assauts de sa langue experte, c’est tellement bon, je me mords les lèvres pour ne pas crier trop fort, mais le plaisir est tellement intense que je jouis dans sa bouche et laissant s’échapper un râle qui en dit long sur mon violent orgasme. Il finis de me nettoyer l’entre-jambe pendant que j’essaye de reprendre mes esprits. À présent, c’est à moi de donner du plaisirs à mon homme, après mettre doucement remis, il vient me donner un baiser en me faisant goûter le fruit de mon plaisir, je le plaque alors sur le lit et le chevauche, il est surpris mais apparemment très content de m’avoir mise dans cette état mes mais carressent mes seins pour l’exiter, mon ventre, ma chate encore très humide, je sens une pression très forte sous son pentalon, puis mes mains carressent son visage, passent dans ses cheveux, sur son torse, puis dans son dos, descent aux fesses et les empoignent fortement, il pousse un « ouh » sec de satisfaction et je commence à lui embrasser son poitraille musclé, je va-et-vient sur toute la largeur en me delectant de chaque partie de son corps, je descends progressivement vers sa bosse devenue énorme que je carresse de haut en basmes lèvres arrivent au haut de son pentalon, mes mains ouvrent sa braguette et enleve definitivement cette barriere de tissu noir. Je vois alors le boxer qui est sur le point de se déchirer, je l’enlève immediatement afin de liberer ce membre si dur et si délicieux qui me donne faim. Mais vu le traitement qu’il m’a infligé tout à l’heure, je préfère prednre mon temps, je le frôle tout d’abord de ma main, je le sens frissonner sous mes carresses, mais ne tenant plus je le prends à pleine main et masturbe ce phallus fierement tendu vers le ciel. Je dépose un baiser sur le bout du gland, puis sur ses bourses et remontent son membre avec ma langue, à mon arriver en haut je l’embouche completement et l’enfonce jusqu’à la garde, puis je remonte doucement, le va-et-vient est régulié et apparemment très apprecier de mon partenaire qui passe sa main dans mes cheveux et appuie un peu sur ma nuque pour guider ma fellation, j’accellere le mouvement, tout en carressant ses couilles et ses fesses, ses muscles se tendent sa respiration et plus halletante, je sens qu’il va jouïre, il essaye de m’arreter car il veut faire durer le plaisir, mais je me fiche de ses supplications et je continue mon mouvement de plus belle, je veux sentir son sperme chaud dans ma bouche, je veux pouvoir goûter sa semance comme il a goûter à ma mouille, il ferme les yeux, tous ses muscles se crispent et je sens son jus gicler dans ma bouche par grosse fournée, il éjacule six ou sept giclées que j’avale en évitant de laisser couler une seule goute, son sperme est salé et visceux, je nettoie la totalitée de son membre puis je l’embrasse fiévreusement sur la bouche il goûte tout comme moi ce qui est sorti de son sexe qui n’a pas encore débandé. Mais, si il croit que je vais le laisser tranquille sans l’avoir sentis au fond de moi, il rêve. Je chevauche mon homme à nouveau et me place bien au-dessus de sa verge tendue, je me carresse la fente avec ce membre et le place correctement à l’entrée de mon vagin, je dispose mes mains de part et d’autre du torse de mon étalon et d’un coup de rein enfonce son membre dans sa quasi totalité dans mon minou gourmand, j’enfonce plus difficilement le reste en me tordant de douleur mêlé avec du plaisir, quand nos deux sexes sont soudés je commence un va-et-viens doux au début qui me convient à moi et mon chéri. Ses mains carresses mes fesses tandis que j’accélère ma besogne, finalement il aggripe mes hanches pour accelerer le mouvement, je le laisse alors faire car sentant un nouvel orgasme j’ai du mal à coordonner mes mouvements, je cris de plus en plus fort et sens mon amant proche de la jouïssance tout comme moi, je l’entends gemir comme une bête sauvage tendis qu’il se deverse en moi à grande giclée ce qui me provoque un deuxieme orgasme bien plus fort que le premier, je m’afale sur son torse, completement exténuée par ce qu’il vient de me faire subir. Je le pensais tout aussi épuisé que moi, mais il n’en était rien, il n’avait pas perdu de sa vigueur, il me retourna sur le dos, et posa mes jmabes par-dessus ses épaules, à genoux sur le lit, il commença à me penetrer violemment le plaisirs était décupler il rapprochait sa tête de la mienne et me défonçait encore plus, mais il ressorti de ma chate, toujours avec les jambes sur ses épaules, il me relevait un peu plus le bassin pour me voir ma rosette sur laquelle il plaça son membre, je n’avais jamais été prise par là avant et j’avais peur d’avoir mal, mais il me rassurait en me disant qu’il allait être le plus doux possible au début, j’acceptais alors qu’il me sodomise et le laissait faire, il garda mon bassin et mes jambes en l’air pour lubrifier de sa langue mon petit trou, jugeant que çà sufisait, il reposa son gland à l’entrée de mon anus et s’enfonça doucement. Je sentais mon anus se dilaté completement, seulement le tier de son gigantesque membre était rentré, des larmes coulées de mes yeux et je lui demandais d’arrêter, ce qu’il ne fis pas, il reculait quand même pour mieux revenir. Il faisait d’abord son va-et-vient de cette façon en ne s’enfonçant qu’a moitier, puis il accélère son mouvement et s’enfonce plus profondement à chaque coup de butoir qu’il me donnait, la douleur fit alors place au plaisir, et je redemmandais qu’il s’enfonce un peu plus loin, je serrais les fesses pour mieux le sentir, il ressortait à chaque aller-retour dans mon anus, il continua comme çà pendant plusieurs minutes dont j’ai apprecie la moindre seconde, je jouïs deux fois avant qu’il ne se deverse en moi, j’étais à nouveau complétement réalisée de cette orgasme, et lui aussi par la même occasion, « enfin » me suis-je dit en moi, bien que j’ai beaucoup apprécié ce traitement. Il me donna un baiser fiévreux en me glissant un « je t’aime » doux à l’oreille avant de s’allonger à mes côtés, je l’ai ensuite entouré de mes bras en lui faisant des petits bisous sur son visage et dans son cou, nous sommes brûlant de sueur, l’odeur de nos ébats sont très forte dans la pièce, mais nous sommes dans le plus parfait des bonheurs, nous nous assoupissons tous les deux encore enrubannés de notre plaisir commun. Le landemain matin, je me reveille doucement de mon sommeille profond, je me rappelle des instants de plaisirs intences vécus la veille. Lorsque j’ouvre doucement les yeux, je me vois dans les bras de mon chéri, nous sommes tous les deux allongés sur le canapé, nus, et mes bras sont autour de son cou, je l’embrasse pour lui faire signe que je suis révéillé, il repond à mon baiser et me dit : « bonjour ma chérie, alors tu as bien dormis ?  • Oui, ai-je alors repondu, j’ai jamais dormis aussi bien mon chéri • Comment as-tu trouvé notre petite soirée d’hier • Super, j’ai jamais passé une sortie aussi agréable • Tu veux qu’on prenne notre douche ? Il faut qu’on reprenne le boulot. • Oui, tu as raison, dis-je d’un ton deçu » Alors, nous sommes allé prendre notre douche ensemble en prennant soin de bien de savonner mutuellement, avant qu’il ne me ramene chez moi, j’eu du mal à me séparé de lui, mais heureusement nous avions un rendez-vous programmer pour le landemain dans la soirée, je l’ai quitté en l’embrassant le plus tendrement possible avant de le voir partir tristement pour rentrer chez lui, moi j’ai repris mon train train quotidien et je suis allé au travail en repensant à cette superbe soirée qu’il m’a fait passer la veille au soir.